Toutes les opinions exprimées dans ces épisodes sont personnelles et ne reflètent pas les opinions des organisations pour lesquelles nos invités travaillent.
Les gouvernements du monde entier sont les principaux acquéreurs de technologies de l’information dans le monde. Et contrairement au secteur privé, où les codes sont confidentiels et les logiciels restent secrets, de nombreuses fonctions gouvernementales sont universelles. Les gouvernements ont donc tout intérêt à partager et à améliorer leurs systèmes respectifs.
On pourrait penser que cela entraînerait une adoption agressive du code source libre (à noter que cela ne signifie pas l’adoption de logiciels libres, mais simplement l’adoption de logiciels qui peuvent être consultés et développés ouvertement). Or, c’est rarement le cas, en partie parce que les conditions dans lesquelles le code source libre peut prospérer font souvent défaut.
Emma Gawen et James Stewart ne sont pas étrangers à la stratégie des TI gouvernementales. Après avoir travaillé dans les secteurs public et privé, ils sont aujourd’hui associés au cabinet de conseil numérique Public Digital. Avec leurs collègues Emily Middleton, Angie Kenny et Anna Hirschfeld (qui montera sur notre scène en novembre !), ils ont récemment publié un rapport détaillé sur la manière de créer les conditions d’un déploiement réussi des logiciels libres au sein du gouvernement. Nous avons partagé un lien vers le rapport dans notre infolettre du 22 juillet, mais nous voulions en savoir plus sur les raisons du succès ou de l’échec des modèles code source libre.
Dans cette entrevue, nous parlons de l’équilibre à trouver entre les solutions ouvertes et les solutions propriétaires, des approches de leadership nécessaires à l’essor du code source libre et de la destruction de certains mythes liés aux logiciels dits libres.