Au cours de la première édition de FWD50, nous avons rassemblé des centaines de fonctionnaires sous un même toit à Ottawa. C'était un événement modeste dans lequel nous avions essayé de nombreuses nouveautés. Quelques principes primordiaux nous guidaient : nous voulions que l'événement soit international, qu'il n'y ait aucun pitch de vente ou lieu d'exposition, et que nous nous attaquions non seulement à la technologie, mais aussi aux changements culturels et structurels nécessaires à l'innovation numérique. Nous voulions créer non pas une simple conférence, mais une conversation sur ce que nous pouvons être lorsque nous orientons le progrès vers l'amélioration de la société.
Nous nous sommes décrits comme :
- Pragmatique : Que pouvons-nous changer en 50 jours ? À quoi ressemblera le monde dans 50 ans ? Nous devons optimiser aujourd'hui autant que nous imaginons demain.
- Sans peur : Tout est sujet à discussion. Nous parlons de l'éléphant dans la pièce et ne craignons pas les vaches sacrées.
- Subversif : Nous sommes à la recherche de petites idées, à première vue inoffensives, qui peuvent avoir des conséquences importantes et transformatrices.
- Inclusif : Le changement ne fonctionne que lorsqu'il aide tout le monde. Nous nous efforçons d'améliorer la vie de tous les citoyens.
- Transformateur : Bien conçu, le gouvernement est une plateforme sur laquelle nous pouvons créer un monde meilleur.
